• Ensemble de textes et de citations possibles

    Il est impossible d'apprécier correctement la lumière sans connaître les ténèbres. Jean-Paul Sartre, L’être et le néant.

    Qui comprend l'humanité recherche la solitude. Hazrat Ali    

    C'est la nuit qu'il est beau de croire à la lumière. Edmond Rostand.

    No one is born hating another person because of the color of his skin, or his background, or his religion. People must learn to hate, and if they can learn to hate, they can be taught to love, for love comes more naturally to the human heart than its opposite. Nelson Madela, Long walk to freedom.

    La conscience est un trait d'union entre ce qui a été et ce qui sera, un pont jeté entre le passé et l'avenir. Bergson, L'Énergie spirituelle.

    Il vient une heure où protester ne suffit plus: après la philosophie, il faut l’action. Victor Hugo, Les misérables.

    L’avenir, fantôme aux mains vides, qui promet tout et qui n’a rien! Victor Hugo, Les voix intérieures.

    Heureux soient les fêlés, car ils laisseront passer la lumière. Michel Audiard.

    L’essentiel en enfer est de survivre. Michel Audiard.

    Dans une société de maîtres et d'esclaves, personne n'est libre. Ni l'esclave, parce qu'il n'est pas son propre maître, ni le maître, parce qu'il ne peut se passer de l'esclave. J. M. Coetzee

    Il est aussi difficile de recevoir que de donner. J. M. Coetzee.

    The mission of photography is to explain man to man and each man to himself. Eduard Steichen

    Our political and military leaders were telling us one thing and photographers were telling us another. James Nachtwey.

    Que préfères-tu, celui qui veut te priver de pain au nom de la liberté ou celui qui veut t’enlever ta liberté pour assurer ton pain ? Albert Camus.

    Celui qui désespère des événements est un lâche, mais celui qui espère en la condition humaine est un fou. Albert Camus, Carnets.

    Je ne suis pas vraiment libre si je prive quelqu'un d'autre de sa liberté. L'opprimé et l'oppresseur sont tous deux dépossédés de leur humanité. Nelson Mandela, Un long chemin vers la liberté.

    Etre libre, ce n'est pas seulement se débarrasser de ses chaînes ; c'est vivre d'une façon qui respecte et renforce la liberté des autres. Nelson Mandela, Un long chemin vers la liberté.

    Nous ne sommes pas encore libres, nous avons seulement atteint la liberté d'être libres. Nelson Mandela.

    Ma vie est mon seul enseignement. Gandhi La démocratie devrait assurer au plus faible les mêmes opportunités qu'au plus fort. Gandhi, Tous les hommes sont frères.

    Ce qui est incompréhensible, c’est que le monde soit compréhensible. Albert Einstein.

    Le monde est construit par le poète pour le rêveur. Oscar Wilde, Intentions.

    Le sommeil de la raison engendre des monstres. Francisco Goya.

    Il n’existe que deux espèces de folies contre lesquelles on doit se protéger. L’une est la croyance selon laquelle nous pouvons tout faire. L’autre est celle selon laquelle nous ne pouvons rien faire. André Brink, Une saison blanche et sèche.

    Les formules qui semblent avoir perdu tout leur sens à force d'avoir été répétées trop souvent sont celles qui contiennent le plus de vérité. Nadine Gordimer, L'arme domestique.

    L'exubérance de l'enfance est la réponse universelle au fait d'être en vie. Nadine Gordimer, Un amant de fortune.

    De manière inconsciente, je crois, je guette un regard, une expression, des traits ou une nostalgie capable de résumer ou plus exactement de révéler une vie. Steve McCurry

    Le Temps court et s'écoule et notre mort seule arrive à le rattraper. La Photographie est un couperet qui dans l'éternité saisit l'instant qui l'a éblouie. Henri Cartier-Bresson.

    Photographier, c’est dans un même instant et en une fraction de seconde reconnaître un fait et l’organisation rigoureuse des formes perçues visuellement qui expriment et signifient ce fait; c’est mettre sur la même ligne de mire la tête, l’oeil et le coeur, c’est une façon de vivre. Henri Cartier-Bresson.

    Jo’burg City / C’est le moment où je viens à toi / Quand sur ton souffle électrique défilent tes fleurs de néon / C’est le moment où je te quitte / Quand elles s’affichent dans l’obscurité / Qui tombe sur tes arbres de ciment.  / Et comme je reviens à mon amour, / Mes caniveaux, ma poussière, mon peuple, ma mort, / Tapie dans le noir comme une lame dans la chair, Je sens tes racines, qui ancrent ton pouvoir, ma faiblesse / Dans ma chair, dans mon esprit, dans mon sang. / Et tou me dit / Que tu n’attends que ça de moi. Jo’burg City, Johannesburg. Mongane Wally Serote

    Allez-y en douceur avec moi de grâce doucement, tout doux; n’encombrez pas ma tête d’images apprises de mon passé; laissez-moi d’abord l’éprouver: n’exposez pas mes rites sculptés au British Museum, ils disent bien peu de chose; laissez-moi d’abord les éprouver. C’est le conte de fées en moi le livre d’histoire qui est le vrai conte de mon être. Allez-y en douceur avec moi, de grâce doucement, tout doux. Njabulo S. Ndebele

    Je veux être calme comme la terre. Je veux en dormant incliner la tête doucement bien calée dans son orbite de songes où les étoiles cousent le motif de l’oreiller: je veux que ma mort telle une taupe creuse, creuse sans cesse sous le terrain de vos certitudes afin que vous ne puissiez me trouver afin que vous ne puissiez m’éliminer du sol où vous vous tenez. Kelwin Sole

    J’ai un oeil plein de rêves et de desseins l’autre - de flou et de flottement j’ai la mémoire pleine de sentiers et de bénédictions la bouche pleine de jeunes soleils mûris sept jambes pour le fleuve dansant et les abysses cléments et un espoir qui corrode toute convulsion Seitlhamo Motsapi

    La vie est un hasard contraire aux destinées. Serge Gainsbourg.

    J'ai toujours pensé que, si on regarde longtemps et soigneusement les gens quand ils parlent, on comprend tout. Bernard-Marie Koltès, Combat de nègre et de chiens.

    Je m’approche de vous, malgré l’heure qui est celle où d’ordinaire l’homme et l’animal se jettent sauvagement l’un sur l’autre, je m’approche, moi, de vous, les mains ouvertes et les paumes tournées vers vous, avec l’humilité de celui qui propose face à celui qui achète, avec l’humilité de celui qui possède face à celui qui désire ;et je vois votre désir comme on voit une lumière qui s’allume, à une fenêtre tout en haut d’un immeuble, dans le crépuscule ;je m’approche de vous comme le crépuscule approche cette première lumière, doucement, respectueusement, presque affectueusement, laissant tout en bas dans la rue l’animal et l’homme tirer sur leurs laisses et se montrer sauvagement les dents. Bernard-Marie Koltès, Dans la solitude des champs de coton.


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